13décembre21décembre2024
(dé)Couvrir le Festival d’Avignon / Hissez Haut !
Maison Jean Vilar 8 rue de Mons Montée Paul Puaux 84000 Avignon
La Maison Jean Vilar présente l’exposition (dé)Couvrir le Festival d’Avignon À travers les photographies de Maurice Costa et l’accrochage Hissez haut ! Les oriflammes font le Festival.
(dé)Couvrir le Festival d’Avignon
À travers les photographies de Maurice Costa
D’abord installé à Marseille, Maurice Costa exerce sa profession de photographe au journal La Marseillaise entre 1950 et 1955. Il intègre ensuite Le Provençal dont il dirige l’équipe de reporters-photographes de l’agence d’Avignon jusqu’en 1986, année où il prend sa retraite.
L’exposition donne à voir une sélection d’environ 200 photographies de Maurice Costa prises pendant le Festival et dont une grande partie est inédite. À travers le regard de Maurice Costa, c’est une plongée dans l’histoire du Festival d’Avignon, de Jean Vilar à Alain Crombecque, du Prince de Hombourg au Soulier de satin, qui s’offre aux visiteurs. L’occasion aussi de découvrir les moments qui accompagnent le temps de la représentation : rencontres et lectures au Verger Urbain V, conférences de presse ou l’ambiance des rues d’une ville transformée par son festival.
ACCROCHAGE ET RESTITUTION D’ATELIERS
Hissez-haut !
Les oriflammes font le Festival
Une oriflamme est un étendard en tissu se terminant généralement par deux pointes et placé au sommet d’un mât. Déjà présentes dans certains de ses spectacles, Jean Vilar demande à six peintres de concevoir des oriflammes pour pavoiser la ville lors du Festival d’Avignon 1961, et chacun s’y attèle avec l’univers graphique qui lui est propre. Appartenant jusqu’alors à l’imaginaire du Moyen-Âge, Vilar donne à cet objet une dimension emblématique pour la ville d’Avignon et l’imaginaire du Festival.
Durant les ateliers de pratique artistique animés par l’artiste plasticienne Pauline Tralongo durant les mois d’octobre et de novembre, plusieurs oriflammes ont été réalisées par des habitants d’Avignon et sont désormais hissées haut sur la façade de la calade de la Maison Jean Vilar. Ils prennent place aux côtés des reproductions des oriflammes de 1961. Ce pavoisement est l’occasion d’un temps fort festif.
Vernissage le vendredi 13 décembre à 18h.
Entrée libre.
À travers les photographies de Maurice Costa
D’abord installé à Marseille, Maurice Costa exerce sa profession de photographe au journal La Marseillaise entre 1950 et 1955. Il intègre ensuite Le Provençal dont il dirige l’équipe de reporters-photographes de l’agence d’Avignon jusqu’en 1986, année où il prend sa retraite.
L’exposition donne à voir une sélection d’environ 200 photographies de Maurice Costa prises pendant le Festival et dont une grande partie est inédite. À travers le regard de Maurice Costa, c’est une plongée dans l’histoire du Festival d’Avignon, de Jean Vilar à Alain Crombecque, du Prince de Hombourg au Soulier de satin, qui s’offre aux visiteurs. L’occasion aussi de découvrir les moments qui accompagnent le temps de la représentation : rencontres et lectures au Verger Urbain V, conférences de presse ou l’ambiance des rues d’une ville transformée par son festival.
ACCROCHAGE ET RESTITUTION D’ATELIERS
Hissez-haut !
Les oriflammes font le Festival
Une oriflamme est un étendard en tissu se terminant généralement par deux pointes et placé au sommet d’un mât. Déjà présentes dans certains de ses spectacles, Jean Vilar demande à six peintres de concevoir des oriflammes pour pavoiser la ville lors du Festival d’Avignon 1961, et chacun s’y attèle avec l’univers graphique qui lui est propre. Appartenant jusqu’alors à l’imaginaire du Moyen-Âge, Vilar donne à cet objet une dimension emblématique pour la ville d’Avignon et l’imaginaire du Festival.
Durant les ateliers de pratique artistique animés par l’artiste plasticienne Pauline Tralongo durant les mois d’octobre et de novembre, plusieurs oriflammes ont été réalisées par des habitants d’Avignon et sont désormais hissées haut sur la façade de la calade de la Maison Jean Vilar. Ils prennent place aux côtés des reproductions des oriflammes de 1961. Ce pavoisement est l’occasion d’un temps fort festif.
Vernissage le vendredi 13 décembre à 18h.
Entrée libre.
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